Aïssa Maïga pour “Escale Fatale” sur Arte : les épreuves de l'immigration en Europe

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athompson

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Aïssa Maïga pour “Escale Fatale” sur Arte : les épreuves de l'immigration en Europe


La comédienne Aïssa Maïga est à l’affiche d'”Escale Fatale”, la nouvelle série franco-irlandaise d’Arte. L’occasion d’évoquer l’un de ses combats : la place des actrices noires à la télévision.

L’Instant M par Sonia Devillers (9h40 – 22 Janvier 2020 – Aïssa Maïga)
Retrouvez L’Instant M sur…

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8 Comments

  1. Question : si je suis acteur blanc vivant et travaillant en Côte d'Ivoire, aurais je uniquement des rôles de méchant colon ou de banquier ou de prof ou de soldat occidental ? On doit s'excuser d'être majoritairement blancs sur ce continent depuis plusieurs dizaines de milliers d'années. Et on doit même s'excuser d'exister ici maintenant.

  2. Rien à voir directement avec les sujets abordés pendant l'interview qui par ailleurs était pleine de fraicheur, mais j'ai juste envie de parler d'un caillou dans la chaussure. Je pense au réchauffement clim. et je me demande si toutes ces séries (bien sûr elles n'ont pas toutes le même caractère), sont si nécessaires, au point de valider en choeur leur empreinte carbone, parce que ça vaut vraiment le coup. Et c'est intéressant de poser la question pour une série progressiste et intelligente. Qu'est ce qui aurait autant ou plus de valeur que la lutte contre la désertification, la fonte des glaces et la survie de la biodiversité et du vivant sur la planète ? Je pense à l'Ecolo Book du Professeur feuillage, dans lequel ils parlent de l'industrie du cinéma et de son bilan carbone déguelasse.. Il y a sûrement 2 poids 2 mesures, selon les productions et les budgets, mais il n'empêche que produire du contenu audiovisuel c'est des transports pour les équipes et le matériel, du matériel, de l'énergie, la promotion, les personnes qui regardent cette promotion (moi) ou la lisent sur papier, et enfin les personnes qui vont regarder la série (pollution invisible dûe à la consommation de contenu), le stockage, et donc un minimum de nucléaire.. Et au fond c'est très simple, et simpliste mais pendant ce temps-là ça brûle en Australie, et il ne faudra pas venir se plaindre parce que des agriculteurs qui donne la becquée au monde entier produisent sur des hectares à base d'engrais et de glyphosate.. au fond, juste parce qu'on voudrait avoir le beurre et l'argent du beurre, faire ce qui nous plaît pour les uns, bricoler pour les autres.. en sachant qu'on est pas prêts à sacrifier notre temps libre.. et il ne s'agit pas de différencier les personnes qui achètent bio et les autres qui seraient responsables.. Ce que je crois, c'est qu'on est bien comme on est, les uns à faire leur chroniques, les autres à tourner des films et tous à se changer les idées, parce qu'au fond on n'est pas si malin qu'on le croit.. et on se tire une balle dans le pied.. en fait quand j'entends tous ces chroniqueurs conscients de la gravité de la situation continuer à commenter l'actu, ça me fait penser aux violonistes du Titanic qui continuent à jouer pendant que le bateau coule.. Pareil pour cette comédienne interviewée qui est tout à fait brillante et qui ne peut pas ignorer les enjeux climatiques.. On dirait que les gens s'accrochent à quelque chose, tout en le critiquant pour certains, ce qui est mon cas.. C'est que cette révolution on l'a voulue, et maintenant que tout l'appelle, personnellement, je sais plus trop ce que j'aurais voulu !..